Le Courrier de l’Atlas a publié vendredi le contenu d’un rapport interne confidentiel de l’Université Paris 1 Sorbonne qui semble dédouaner Arash Derambarsh concernant sa thèse de droit.
Le Courrier de l’Atlas, qui avait
sollicité l’université, explique : “A une majorité de nos questions, nous
étions renvoyés à un rapport de l’enquête administrative interne”, un rapport
qu’il ont réussi à obtenir. Ainsi dans ce rapport interne, l’Université
confirme l’importance de recevoir une formation doctorale pour l’écriture d’une
thèse. Rappelons qu’Arash Derambarsh n’en a jamais reçu et qu’il n’a jamais
signé la moindre charte de l’Université. Le Courrier de l’Atlas indique que
l’université confirme également qu’il n’y a eu aucune complaisance de la part
de son jury de thèse.
Rappelons qu’Arash Derambarsh a
été accusé de soutenir une thèse de complaisance. Concernant la confidentialité
de la thèse, ce rapport interne dédouane Arash Derambarsh. Certains l’ont
accusé d’avoir été à l’origine de cette demande. Il n’en est rien visiblement.
Enfin concernant le logiciel
COMPILATION, l’Université aurait utilisé ce logiciel de la mauvaise façon. En
effet, l’université aurait utilisé ce logiciel comme d’un outil « anti-plagiat
» alors même que la société COMPILATION réfute fermement cela et continue de dire que son outil ne mesure que les similitudes et seule une main humaine peut établir le plagiat. Plagiat qu’il n’y avait pas dans la thèse d’Arash
Derambarsh puisque tous les noms apparaissaient mais de façon éparpillées et
maladroites (nom dans la bibliographie ou dans le corps de page notamment).
Rappelons que l’Université Paris
1 La Sorbonne avait condamné Arash Derambarsh pour la totalité de ces faits. Le
journaliste du Courrier de l’Atlas, Yassir Guelzim, affirme dans son enquête
que Thomas Clay (ancien président provisoire de cette université) n’a pas voulu
révéler publiquement ce rapport.
A lire également l'article sur le site d'information de Stéphane LARUE